Vive l’été à Londres : Ah, ces « fish and chips »

Les autorités londoniennes sont soumises à un autre fléau. Les rejets  de cette passion alimentaire outre-Manche pour les « fish and ships ». Restaurants autant que particuliers en sont responsables.

D’énormes amas de graisse, agglomérés avec un autre gros polluant, les lingettes, bouchent les égouts, au point qu’on les nomme « fatberg », acronyme de fat, gras et ice… berg.

Des égouts au foyer

Londres a donc décidé de tirer profit de cette graisse usagée, tout de même 30 tonnes au quotidien,  pour en tirer une huile, laquelle devenue combustible, fera tourner  une centrale électrique et permettra d’alimenter 40 000 foyers.